En redescendant du Méjean ce soir .
Actualité publiée le 20/02/2024
Le temps de sortir ce chevreuil , de passer le montrer à Christian , de discuter quand même 5 minutes il était presque 21 heures quand je suis arrivé en redescendant la Jonte en dessous des Truels . En roulant vite parce que personne en face , d'un coup dans le bas côté à droite dans le caniveau des sangliers . Coup de frein , je m'arrête à côté , marche arrière de façon à ce qu'ils soient visibles et restent devant . La grosse ( 60 et quelques ) plus sombre et deux rouquins de surement pas loin de 40 , plus de la marmaille , 3 ou 4 de 20 ou 25 kilos . Tout le monde dans le trou , le caniveau en bas du mur de plusieurs mètres de haut , coincés ? Ils ont marché devant moi le long du goudron dans ce caniveau sur peut être 100 mètres , puis la noireaude a traversé et a voulu descendre en direction de la Jonte . Mais est restée bloquée en haut du talus , trop abrupt de plusieurs mètres surement . Après avoir suivi sur encore 25 ou 30 mètres tout le monde a réussi à descendre , disparaitre enfin . Pour ceux qui connaissent , j'allais en direction du belvédère des vautours , et le mur qui les coinçait sur la droite était dans les cent mètres avant , pas plus . Là , ce sont les gorges de la Jonte , carrément , avec de vrais murs infranchissables sur de grandes distances . Et cette grosse , que toute la marmaille doit dévorer à chaque têtée si elle est complaisante doit crever de faim . Il n'y a rien à manger dans ces cailloux , ça doit la tourmenter . Je lui conseillerai bien une adresse excellente pour ce qui est de la nourriture à volonté , direction le Vigan ...
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