Deux jours prévus , je ne tiens que le premier ...
Actualité publiée le 23/12/2022
Mercredi puis jeudi au turbin , à la chasse pour compenser le fait qu'on ne chassera quasi pas ce wekend , voilà ce qui était prévu et qui me plaisait bien . Mercredi matin nous avons démarré tard , sous Saint Bresson . Le " pays " de Julien , qui connait chaque buisson de ces deux ou trois immenses bosses . J'y ai de beaux souvenirs et on a mes chiens et moi fait tirer des sangliers régulièrement ici . C'est immense mais j'ai souvenir au fil des années des endroits , remises dans lesquelles on a l'habitude de lever . Je démarre depuis le Duster , descends dans la pente , et dans la première demie heure nous ne levons pas , rien , même pas un cherveuil ou un renard . Ils doivent être plus loin mais en fait si on a l'impression d'être au parc tellement c'est fréquenté je ne vois rien de la nuit dans la première demie heure , rien .
Je rejoins Nicolas l'un de nos jeunes piqueurs qui a de petits chiens , jagds et des courants , il est au dessus de moi à 100 mètres et se met à hurler de " parer en bas " , ses chiens viennent de lever . Dans les minutes qui suivent effectivement ça mène en plusieurs endroits , ça tire , retire pas bien loin . Trois minutes après la Mandy qui était déjà revenue en démarre encore un qui monte en face , Nicolas me dit qu'il y en avait peut être dix , un ou deux gros et le reste en petits , petits . Quelques minutes après nous sommes lui et moi près de Maurice et de son voisin de poste qui en a tués deux . La " grosse " ( il a bien fait , on en est pas à épargner les femelles , les densités doivent être contenues ) et un des pas bien gros que mes chiens pourtant pas dans le coup au départ ont attrapé parce que blessé . Ensuite je repars Garmin en main ( j'ai sorti 10 chiens ) pour me rapprocher de ceux qui sont loin . Donc crapahut en récupérant petit à petit presque tout l'effectif . Ne me manquent depuis le début que Sherkan mon drahthaar et Sherlock le munster . Sont ils partis sur des petits qu'ils ont croqué , au ferme quelque part , trop de chiens sortis je ne saurai pas ...
Il reste encore presque deux heures avant la nuit mais j'ai fait un tas de kilomètres c'est sur , à mon rythme de vieux mais sans arrêter et je commence à regarder l'heure et la direction de la remorque . Mais Jean Marc m'appelle , frère d'André , qui me dit que j'ai un chien au ferme en dessous de lui depuis un sacré moment . Lui dis que je sais , que le Garmin me le dit ( ne bouge pas à presque 700 mètres bien plus bas dans le maquis ) mais que le temps que j'y aille ce sera parti , etc . Vingt minutes après je suis avec André accompagné de Pierre ( entre temps mon Sultan a jappé et levé un sanglier de 35 kilos qui m'est sorti d'un buisson à lapin dans les godasses , manqué comme un con parce que j'ai voulu le tirer à la hanche mais l'armeur pas engagé , coup pas parti bien sur , le temps que je le prenne après avoir armé je ne le vois plus trop et de cul , Pan à côté , mais Nicolas l'a tué 200 mètres plus loin , ça m'énerve moins ...) , et le chef me redit que son frère Jean Marc lui a dit que , etc ... Et tu n'y vas pas ? Bon , j'y vais . Vingt minutes plus tard je suis sur les lieux , la chienne kopov Onyx ne jappe plus qu'un coup de temps en temps mais reste au dessus du chemin à une soixantaine de mètres dans du vrai épais . Le plus silencieux possible je me faufile là dedans , il est là c'est sur et dans les deux minutes qui suivent un chien , puis deux puis trois puis toute l'équipe qui démarre ça . Descente , remontée en face , ça tire ( mon Dieu faites qu'il l'ait tué...) mais ça continue , les chiens ne s'arrêtent pas donc il a été loupé malgré le coup seul . Le tour de la montagne , ça tire encore , cinq minutes et Franck m'appelle furieux . Cet ami fait cette année un peu la saison de sa vie , approchera s'il insiste du tableau annuel à trois chiffres et n'en manque pas beaucoup mais là " il m'a pris le coup de feu de cul le con au lieu de traverser et quand j'ai laché la balle il avait presque disparu , j'ai tapé un arbre " , pas de chance . Parce que maintenant ça a filé ... Encore quelques centaines de mètres et ce sanglier sort là où devait être Claude qui est parti , sous le neveu de Robert qui n'a pas pu le tirer . Résultat des courses chiens partis , suis obligé de suivre , remonter en face , redescendre , remonter encore . Comme je gueule des chiens reviennent petit à petit , il ne m'en manque bientôt plus que 4 ou 5 ...
André qui m'a entendu a fait le tour avec le Land , toujours accompagné de Pierre qui d'ordinaire marche pas mal mais qui aujourd'hui est " cuit dur " , malade , et me récupère . Nous montons derrière mes chiens , retour au Duster , je vais pouvoir dételer la remorque et avec l'antenne de toit récupérer les derniers .
Une heure après je finis par récupérer les derniers , après Sherkan , Raven le jeune kopov et Sherlock toujours dans les plus acharnés , ça s'arrangera l'année prochaine . Retour à Pommiers , j'ai marché par la force des choses comme jamais , ai descendu remonté descendu remonté descendu remonté X fois ces versants abrupts en suivant les voies de communication animales et humaines mais ai du marcher sur des chemins bien moins d'un dixième du parcours . Sans forcer ni ressentir quelque fatigue que ce soit , à mon rythme qui n'a plus rien à voir avec ce que ça donnait quand j'étais dans l'Ain il y a ... 30 ans . A l'époque c'était " il est fou , il court tout le temps ! " , parce que la passion était au taquet et que le; physique était de haut niveau , course tous les jours etc . Maintenant , avec ce qu'il me reste je me contente de marcher sans arrêter , sans forcer vraiment , en essayant de boire le plus possible .
Tableau du jour , un seul chevreuil je crois et 5 sangliers " seulement " , en ne les manquant pas ça irait mieux ...
Excellent repas du soir chez André , merci à Françoise et lui , et à la fin sortie de bouteilles de champagne pour arroser mon cerf , tout le monde était au courant , du fait que je l'avais tué mais aussi que j'en avais bavé plusieurs mois pour y arriver . Vingt et une heures je suis dans mon duvet , bouchons d'oreilles , je vais pour une fois me taper une bonne nuit... Endormi en cinq minutes je suis réveillé vers 22 heures par une douleur incroyable , crampe qui me prend le devant du quadriceps côté gauche , je suis pris dans mon duvet , n'arrive pas à en sortir autrement qu'en gueulant ou pas loin , terrible ! Vas la faire disparaitre , celle là , c'est autre chose que celles qui arrivent sur l'arrière , qu'avec du " métier " on arrive à calmer en s'étirant de façon adaptée . Là , à part gueuler comme un con tellement c'est douloureux , claudiquer en essayant de sortir de ce p... de sac de couchage qui te ferait tomber en plus , jusqu'au robinet le plus proche pour boire , boire et reboire encore de l'eau , des litres , pour que ça finisse par passer tout doucement , rien à faire . Une fois miraculé , c'est l'impression dans les secondes qui suivent , parce que la crampe terrible est enfin partie , j'ai passé de longues minutes à marcher en rond dans la cuisine , priant pour que ça ne revienne pas . La boisson m'a sauvé , je vais boire et reboire des litres , pas grave d' être obligé de se relever pour pisser si c'est pour ne plus être coupé en deux par ces crampes insupportables vraiment .
Il est maintenant 23 heures , il doit y avoir moins d 'une demie heure que je dors quand je me tords à nouveau , le scénario est le même , hurlements ou pas loin ( Clément qui dort au dessus me dira ensuite qu'il a cru que je m'engueulais avec quelqu'un au téléphone quand il m'a entendu gueuler à chaque fois ) , démarche claudiquante d'estropié jusqu'au robinet , cris de douleur , il y en a marre vraiment !
Minuit , même chose , toutes les heures j'y ai droit , quelle horreur , je reste debout , finis par me recoucher après avoir bu peut être deux litres en deux fois , qui n'ont pas empêché que ça revienne mais qui m'ont sur le moment calmé ...
Il est une heure du matin , je n'en peux plus parce que c'est revenu pour la quatrième fois , je ne me recoucherai pas , préfère ne pas dormir et rentrer à Liaucous . Rentré chez moi , arrivé à 3 heures après avoir tout le long bu et rebu , donc après m'être arrêté autant de fois pour vidanger je n'ai plus eu droit à la crampe insupportable . Me suis mis ensuite sous ma couette après avoir encore bu , et n'ai plus eu de crampe de la nuit , OUF !
C'est la deux ou la troisième fois de ma vie que je me retrouve dans cet état , toujours à Pommiers , merci les versants des Cévennes . Paysages sensationnels , animaux magnifiques , dénivelés extraordinaires , chasse à nulle autre pareille mais âpreté du territoire . Et vraie connerie de ma part , emporté par ma passion , qui comme me le précisait il y a très peu André n'ai pas encore compris , intégré que j'étais un sexagénaire , en forme certes , mais un vieux , n'ayons pas peur de le dire . Chasser au plat peut être ? Arriver à mieux doser au niveau de l'investissement c'est certain , ce qui serait possible si nos jeunes suivaient leurs chiens , s'habituaient à ça au lieu de passer la plus grande partie de leurs séances dans les voitures . Ce n'est pas au plus vieux de la bande d'être obligé de traverser dans tous les sens la chasse pour aller d'un ferme à l'autre , c'est sur , surtout dans la mesure dans laquelle les jeunes savent bien que quand un de mes chiens est au ferme s'ils le tuent je suis tout content , tuez les tous ... Pas sous mon nez si vous savez que j'y vais , mais dans beaucoup de ces cas dans lesquels JE vais mettre une demie heure pour y aller alors que Pierre ou Julien peuvent y arriver en cinq minutes , tuez les tous ...
La photo est celle du sanglier parti avec le paquet de petits , levé par Nicolas et ses chiens . S'est fait tuer quelques centaines de mètres plus loin devant certains des miens , Mandy et des kopovs , Onyx et Raven sur la photo ...
Il faut que je ralentisse les cadences .
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Je rejoins Nicolas l'un de nos jeunes piqueurs qui a de petits chiens , jagds et des courants , il est au dessus de moi à 100 mètres et se met à hurler de " parer en bas " , ses chiens viennent de lever . Dans les minutes qui suivent effectivement ça mène en plusieurs endroits , ça tire , retire pas bien loin . Trois minutes après la Mandy qui était déjà revenue en démarre encore un qui monte en face , Nicolas me dit qu'il y en avait peut être dix , un ou deux gros et le reste en petits , petits . Quelques minutes après nous sommes lui et moi près de Maurice et de son voisin de poste qui en a tués deux . La " grosse " ( il a bien fait , on en est pas à épargner les femelles , les densités doivent être contenues ) et un des pas bien gros que mes chiens pourtant pas dans le coup au départ ont attrapé parce que blessé . Ensuite je repars Garmin en main ( j'ai sorti 10 chiens ) pour me rapprocher de ceux qui sont loin . Donc crapahut en récupérant petit à petit presque tout l'effectif . Ne me manquent depuis le début que Sherkan mon drahthaar et Sherlock le munster . Sont ils partis sur des petits qu'ils ont croqué , au ferme quelque part , trop de chiens sortis je ne saurai pas ...
Il reste encore presque deux heures avant la nuit mais j'ai fait un tas de kilomètres c'est sur , à mon rythme de vieux mais sans arrêter et je commence à regarder l'heure et la direction de la remorque . Mais Jean Marc m'appelle , frère d'André , qui me dit que j'ai un chien au ferme en dessous de lui depuis un sacré moment . Lui dis que je sais , que le Garmin me le dit ( ne bouge pas à presque 700 mètres bien plus bas dans le maquis ) mais que le temps que j'y aille ce sera parti , etc . Vingt minutes après je suis avec André accompagné de Pierre ( entre temps mon Sultan a jappé et levé un sanglier de 35 kilos qui m'est sorti d'un buisson à lapin dans les godasses , manqué comme un con parce que j'ai voulu le tirer à la hanche mais l'armeur pas engagé , coup pas parti bien sur , le temps que je le prenne après avoir armé je ne le vois plus trop et de cul , Pan à côté , mais Nicolas l'a tué 200 mètres plus loin , ça m'énerve moins ...) , et le chef me redit que son frère Jean Marc lui a dit que , etc ... Et tu n'y vas pas ? Bon , j'y vais . Vingt minutes plus tard je suis sur les lieux , la chienne kopov Onyx ne jappe plus qu'un coup de temps en temps mais reste au dessus du chemin à une soixantaine de mètres dans du vrai épais . Le plus silencieux possible je me faufile là dedans , il est là c'est sur et dans les deux minutes qui suivent un chien , puis deux puis trois puis toute l'équipe qui démarre ça . Descente , remontée en face , ça tire ( mon Dieu faites qu'il l'ait tué...) mais ça continue , les chiens ne s'arrêtent pas donc il a été loupé malgré le coup seul . Le tour de la montagne , ça tire encore , cinq minutes et Franck m'appelle furieux . Cet ami fait cette année un peu la saison de sa vie , approchera s'il insiste du tableau annuel à trois chiffres et n'en manque pas beaucoup mais là " il m'a pris le coup de feu de cul le con au lieu de traverser et quand j'ai laché la balle il avait presque disparu , j'ai tapé un arbre " , pas de chance . Parce que maintenant ça a filé ... Encore quelques centaines de mètres et ce sanglier sort là où devait être Claude qui est parti , sous le neveu de Robert qui n'a pas pu le tirer . Résultat des courses chiens partis , suis obligé de suivre , remonter en face , redescendre , remonter encore . Comme je gueule des chiens reviennent petit à petit , il ne m'en manque bientôt plus que 4 ou 5 ...
André qui m'a entendu a fait le tour avec le Land , toujours accompagné de Pierre qui d'ordinaire marche pas mal mais qui aujourd'hui est " cuit dur " , malade , et me récupère . Nous montons derrière mes chiens , retour au Duster , je vais pouvoir dételer la remorque et avec l'antenne de toit récupérer les derniers .
Une heure après je finis par récupérer les derniers , après Sherkan , Raven le jeune kopov et Sherlock toujours dans les plus acharnés , ça s'arrangera l'année prochaine . Retour à Pommiers , j'ai marché par la force des choses comme jamais , ai descendu remonté descendu remonté descendu remonté X fois ces versants abrupts en suivant les voies de communication animales et humaines mais ai du marcher sur des chemins bien moins d'un dixième du parcours . Sans forcer ni ressentir quelque fatigue que ce soit , à mon rythme qui n'a plus rien à voir avec ce que ça donnait quand j'étais dans l'Ain il y a ... 30 ans . A l'époque c'était " il est fou , il court tout le temps ! " , parce que la passion était au taquet et que le; physique était de haut niveau , course tous les jours etc . Maintenant , avec ce qu'il me reste je me contente de marcher sans arrêter , sans forcer vraiment , en essayant de boire le plus possible .
Tableau du jour , un seul chevreuil je crois et 5 sangliers " seulement " , en ne les manquant pas ça irait mieux ...
Excellent repas du soir chez André , merci à Françoise et lui , et à la fin sortie de bouteilles de champagne pour arroser mon cerf , tout le monde était au courant , du fait que je l'avais tué mais aussi que j'en avais bavé plusieurs mois pour y arriver . Vingt et une heures je suis dans mon duvet , bouchons d'oreilles , je vais pour une fois me taper une bonne nuit... Endormi en cinq minutes je suis réveillé vers 22 heures par une douleur incroyable , crampe qui me prend le devant du quadriceps côté gauche , je suis pris dans mon duvet , n'arrive pas à en sortir autrement qu'en gueulant ou pas loin , terrible ! Vas la faire disparaitre , celle là , c'est autre chose que celles qui arrivent sur l'arrière , qu'avec du " métier " on arrive à calmer en s'étirant de façon adaptée . Là , à part gueuler comme un con tellement c'est douloureux , claudiquer en essayant de sortir de ce p... de sac de couchage qui te ferait tomber en plus , jusqu'au robinet le plus proche pour boire , boire et reboire encore de l'eau , des litres , pour que ça finisse par passer tout doucement , rien à faire . Une fois miraculé , c'est l'impression dans les secondes qui suivent , parce que la crampe terrible est enfin partie , j'ai passé de longues minutes à marcher en rond dans la cuisine , priant pour que ça ne revienne pas . La boisson m'a sauvé , je vais boire et reboire des litres , pas grave d' être obligé de se relever pour pisser si c'est pour ne plus être coupé en deux par ces crampes insupportables vraiment .
Il est maintenant 23 heures , il doit y avoir moins d 'une demie heure que je dors quand je me tords à nouveau , le scénario est le même , hurlements ou pas loin ( Clément qui dort au dessus me dira ensuite qu'il a cru que je m'engueulais avec quelqu'un au téléphone quand il m'a entendu gueuler à chaque fois ) , démarche claudiquante d'estropié jusqu'au robinet , cris de douleur , il y en a marre vraiment !
Minuit , même chose , toutes les heures j'y ai droit , quelle horreur , je reste debout , finis par me recoucher après avoir bu peut être deux litres en deux fois , qui n'ont pas empêché que ça revienne mais qui m'ont sur le moment calmé ...
Il est une heure du matin , je n'en peux plus parce que c'est revenu pour la quatrième fois , je ne me recoucherai pas , préfère ne pas dormir et rentrer à Liaucous . Rentré chez moi , arrivé à 3 heures après avoir tout le long bu et rebu , donc après m'être arrêté autant de fois pour vidanger je n'ai plus eu droit à la crampe insupportable . Me suis mis ensuite sous ma couette après avoir encore bu , et n'ai plus eu de crampe de la nuit , OUF !
C'est la deux ou la troisième fois de ma vie que je me retrouve dans cet état , toujours à Pommiers , merci les versants des Cévennes . Paysages sensationnels , animaux magnifiques , dénivelés extraordinaires , chasse à nulle autre pareille mais âpreté du territoire . Et vraie connerie de ma part , emporté par ma passion , qui comme me le précisait il y a très peu André n'ai pas encore compris , intégré que j'étais un sexagénaire , en forme certes , mais un vieux , n'ayons pas peur de le dire . Chasser au plat peut être ? Arriver à mieux doser au niveau de l'investissement c'est certain , ce qui serait possible si nos jeunes suivaient leurs chiens , s'habituaient à ça au lieu de passer la plus grande partie de leurs séances dans les voitures . Ce n'est pas au plus vieux de la bande d'être obligé de traverser dans tous les sens la chasse pour aller d'un ferme à l'autre , c'est sur , surtout dans la mesure dans laquelle les jeunes savent bien que quand un de mes chiens est au ferme s'ils le tuent je suis tout content , tuez les tous ... Pas sous mon nez si vous savez que j'y vais , mais dans beaucoup de ces cas dans lesquels JE vais mettre une demie heure pour y aller alors que Pierre ou Julien peuvent y arriver en cinq minutes , tuez les tous ...
La photo est celle du sanglier parti avec le paquet de petits , levé par Nicolas et ses chiens . S'est fait tuer quelques centaines de mètres plus loin devant certains des miens , Mandy et des kopovs , Onyx et Raven sur la photo ...
Il faut que je ralentisse les cadences .