Samedi dans les pins de Montdardier .
Actualité publiée le 01/10/2018
Grosse chaleur , des piqueurs en assez grand nombre donc André le chef qui savait que nous allions le dimanche faire une grande attaque ne sort pas de chiens ... Résultat des courses pas trop de sangliers de vus même si les courants en ont fait courir et tirer plusieurs , et au bout du compte un seul au tableau , que mes énervés ont attrapé au milieu d'un roncier immense . Il m'a fallu monter très abruptement sur peut être 80 mètres , entrer à quatre pattes , à plat ventre sur 7 ou 8 mètres , me relever quand j'ai été à côté , ne toujours pas le voir à deux mètres . Pour finir par le piquer enfin , être obligé de le ressortir de ce roncier immense , le redescendre jusqu'au chemin ... Dès le début de la séance , pour me mettre en forme . Une fois ressorti au chemin , je réalise que j'ai avec moi tous les chiens du jour , exceptés Moka et Lascar les deux compères qui sont partis pendant que je le ressortais . Au Garmin ils sont à plus d'un kilomètre , sont sortis sans que ça ne tire devant ...
Chasse avec le reste du groupe pendant un moment , ça ne revient pas , je dois aller les chercher . Redescente à la voiture , et après avoir rentré le reste du groupe en caisse je fais le tour du trou en question . Pas moyen d' arriver à côté en voiture , mais au bout d'un moment je les ai tous les deux à 250 et quelques mètres . Mais tout en bas du plateau ... Je descends dans les buis mangés par la pyrale , pendant que je descends eux aussi parce que quand j'arrive sur la grande piste autour de laquelle les choses se passaient ils sont descendus de 200 mètres encore . Avec le sanglier derrière lequel ils sont c'est certain , mais ils sont cuits durs , fatigués à l'extrême . A tel point qu'à un moment je les appelle alors qu'ils sont à moins de 100 mètres en dessous de moi , de la piste , et ils viennent ...
Retour droit sur la voiture qui est à moins de 400 mètres en haut comme me le dit mon Backtrack . Comme si je montais à une échelle tellement ça grimpe , un quart d'heure après je suis en haut , repars dans la chasse , appelle André . Je reviens par les pîstes un virage plus haut , tente de relever un sanglier avant que ça ne sonne la fin de traque mais non , il fait trop chaud , je ne relèverai plus .
La photo est celle de ce petit , 30 kilos peut être , tiré par un postier en allant au poste , avant que nous n'arrivions , blessé de patte avant . Mes chiens en sortant de la voiture l'ont mené sur 150 mètres et coiffé bien sur . Quand je suis arrivé ils lui avaient mangé une oreille , ils se sont régalés mais vidés et il ne leur restait plus beaucoup d'énergie avec une température pareille pour continuer la partie . Exceptés les leaders , Lascar et Moka que j'ai été obligé d'aller chercher hors chasse dans les conditions décrites plus haut . Les piqueurs sont parfois jalousés parce qu'ils voient souvent des animaux , mais si les postiers savaient par où ils sont obligés de passer , au sens propre comme au figuré , pour faire leur travail ils se rendraient compte que c'est très dur . En tous cas la condition physique est là , les jambes sont prêtes pour le reste de la saison ...
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Chasse avec le reste du groupe pendant un moment , ça ne revient pas , je dois aller les chercher . Redescente à la voiture , et après avoir rentré le reste du groupe en caisse je fais le tour du trou en question . Pas moyen d' arriver à côté en voiture , mais au bout d'un moment je les ai tous les deux à 250 et quelques mètres . Mais tout en bas du plateau ... Je descends dans les buis mangés par la pyrale , pendant que je descends eux aussi parce que quand j'arrive sur la grande piste autour de laquelle les choses se passaient ils sont descendus de 200 mètres encore . Avec le sanglier derrière lequel ils sont c'est certain , mais ils sont cuits durs , fatigués à l'extrême . A tel point qu'à un moment je les appelle alors qu'ils sont à moins de 100 mètres en dessous de moi , de la piste , et ils viennent ...
Retour droit sur la voiture qui est à moins de 400 mètres en haut comme me le dit mon Backtrack . Comme si je montais à une échelle tellement ça grimpe , un quart d'heure après je suis en haut , repars dans la chasse , appelle André . Je reviens par les pîstes un virage plus haut , tente de relever un sanglier avant que ça ne sonne la fin de traque mais non , il fait trop chaud , je ne relèverai plus .
La photo est celle de ce petit , 30 kilos peut être , tiré par un postier en allant au poste , avant que nous n'arrivions , blessé de patte avant . Mes chiens en sortant de la voiture l'ont mené sur 150 mètres et coiffé bien sur . Quand je suis arrivé ils lui avaient mangé une oreille , ils se sont régalés mais vidés et il ne leur restait plus beaucoup d'énergie avec une température pareille pour continuer la partie . Exceptés les leaders , Lascar et Moka que j'ai été obligé d'aller chercher hors chasse dans les conditions décrites plus haut . Les piqueurs sont parfois jalousés parce qu'ils voient souvent des animaux , mais si les postiers savaient par où ils sont obligés de passer , au sens propre comme au figuré , pour faire leur travail ils se rendraient compte que c'est très dur . En tous cas la condition physique est là , les jambes sont prêtes pour le reste de la saison ...