Sanglier de Jean Paul .
Actualité publiée le 30/11/2016
Ce matin , alors que j'avais planifié de rester récupérer sous la couette jusqu'à neuf heures peut être , de façon à récupérer un peu de tous ces levers très matinaux , le téléphone a sonné avant huit heures ...
La femme de Jean Paul nous appelle , nous prévient que je dois venir lui chercher un sanglier qu'il a tiré ce matin . Qu'il arrive . Il arrive , je déjeune pendant qu'il boit un café en m'expliquant qu'il a tiré ce matin au jour un gros sanglier en train de manger sous ses fruitiers et arbres truffiers ( 80 mètres derrière sa maison ) avec deux de ses copains . Trois gros sangliers ensemble sous ses arbres , il en est malade . Au coup de feu , rien , mais à 50 mètres du sang , pas mal puis beaucoup , enfin bref il rentre dans les pins de Blanc , et il faudrait que je vienne l'aider à le trouver . Il faudrait que je me dépêche parce qu'il a peur que Régis vienne mettre ses chiens sur le lièvre qui traine derrière chez lui ...
Je monte au chenil , récupère à nouveau Lascar et Baxter , fais monter Circé et nous faisons les deux kilomètres qui nous séparent de chez Jean Paul . Je m'équipe comme si nous partions pour une recherche classique , mets le Garmin au cou de la chienne , et nous montons dans son verger . Je l'ai tiré là bas , et il est passé là , il commence à y avoir du sang , tu vois . Ah oui , je vois , pas de problème , ce ne sont pas trois gouttes à droite à gauche , on peut suivre à l'oeil . Facilement . Il s 'est enfilé effectivement sous l'ursus , le grillage de parc à moutons qui sépare son verger de la plantation de pins . Nous progressons vite , et à 60 mètres plus loin , alors que la chienne est encore à 30 mètres en dessous , je vois l'animal . Manifestement mort , ayant essayé de se coucher , deux couches ensanglantées sur les dix derniers mètres . Bien pris plein travers par la balle , il est venu se coucher pour mourir à 150 mètres de l'anschuss . Une belle femelle de 75 kilos , qui ne viendra plus piquer les truffes de Jean Paul .
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La femme de Jean Paul nous appelle , nous prévient que je dois venir lui chercher un sanglier qu'il a tiré ce matin . Qu'il arrive . Il arrive , je déjeune pendant qu'il boit un café en m'expliquant qu'il a tiré ce matin au jour un gros sanglier en train de manger sous ses fruitiers et arbres truffiers ( 80 mètres derrière sa maison ) avec deux de ses copains . Trois gros sangliers ensemble sous ses arbres , il en est malade . Au coup de feu , rien , mais à 50 mètres du sang , pas mal puis beaucoup , enfin bref il rentre dans les pins de Blanc , et il faudrait que je vienne l'aider à le trouver . Il faudrait que je me dépêche parce qu'il a peur que Régis vienne mettre ses chiens sur le lièvre qui traine derrière chez lui ...
Je monte au chenil , récupère à nouveau Lascar et Baxter , fais monter Circé et nous faisons les deux kilomètres qui nous séparent de chez Jean Paul . Je m'équipe comme si nous partions pour une recherche classique , mets le Garmin au cou de la chienne , et nous montons dans son verger . Je l'ai tiré là bas , et il est passé là , il commence à y avoir du sang , tu vois . Ah oui , je vois , pas de problème , ce ne sont pas trois gouttes à droite à gauche , on peut suivre à l'oeil . Facilement . Il s 'est enfilé effectivement sous l'ursus , le grillage de parc à moutons qui sépare son verger de la plantation de pins . Nous progressons vite , et à 60 mètres plus loin , alors que la chienne est encore à 30 mètres en dessous , je vois l'animal . Manifestement mort , ayant essayé de se coucher , deux couches ensanglantées sur les dix derniers mètres . Bien pris plein travers par la balle , il est venu se coucher pour mourir à 150 mètres de l'anschuss . Une belle femelle de 75 kilos , qui ne viendra plus piquer les truffes de Jean Paul .