le cerf de Pierre et Jäger ce dimanche .
Actualité publiée le 19/10/2016
Je vous livre tel quel le texte relatif au beau cerf retrouvé par Jäger et Pierre ce weekend , reçu aujourd'hui de ce dernier :
" Appelé au Calmels pour un beau cerf fléché 2h30 plus tôt par Eric, le fils de l’Andorran.
Tir de 3/4 arrière décrit comme un peu trop arrière, l'animal part avec la flèche.
Du sang au début, mais relativement peu pour un arc, pour devenir très peu au bout de 200m, mais le chien travaille. Toutefois un passage de 150m sans indices visibles dans une remise très fréquentée (pistes, couchettes, crottes, frottis) nous posera problème, nécessitant plusieurs retours en arrière.
A 500m une reposée avec beaucoup de sang, y compris mousseux. L'animal est parti devant nous. Le chien n'hésite plus et avance avec sureté.
150m plus loin l'animal démarre devant le chien (3 ou 4m) sans que je ne puisse le voir.
Vue la distance entre les deux reposées je lache Jäger et je marche derrière à l'oreille.
Arrivé en fond de vallon , Antonio, que nous avions envoyé sur la refuite, me fait signe, l'animal est devant lui , couché. Le chien n'est pas loin mais n'arrive pas à le localiser précisément au nez, il reste prudent. Le cerf, mourant, nous attend. Jäger l'aboie, et à la première occasion j'envoie une balle de cou. Un peu basse, il en faudra une seconde.
C'est donc un beau 12 cors irréguliers, très bâti, portant les balafres du brame. Il a été tiré à la suite de son harpail d'une douzaine de biches.
La flèche entre pleine cuisse, fracture le fémur, et continue pour atteindre la cavité abdominale (flèche lourde et arc à poulie règlé à 75lbs). Elle est coincée dans les débris d'os du fémur, la lame s'est détachée. "
Ne manquent plus que les photos , que je vous passerai dès qu'elles seront là ...
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" Appelé au Calmels pour un beau cerf fléché 2h30 plus tôt par Eric, le fils de l’Andorran.
Tir de 3/4 arrière décrit comme un peu trop arrière, l'animal part avec la flèche.
Du sang au début, mais relativement peu pour un arc, pour devenir très peu au bout de 200m, mais le chien travaille. Toutefois un passage de 150m sans indices visibles dans une remise très fréquentée (pistes, couchettes, crottes, frottis) nous posera problème, nécessitant plusieurs retours en arrière.
A 500m une reposée avec beaucoup de sang, y compris mousseux. L'animal est parti devant nous. Le chien n'hésite plus et avance avec sureté.
150m plus loin l'animal démarre devant le chien (3 ou 4m) sans que je ne puisse le voir.
Vue la distance entre les deux reposées je lache Jäger et je marche derrière à l'oreille.
Arrivé en fond de vallon , Antonio, que nous avions envoyé sur la refuite, me fait signe, l'animal est devant lui , couché. Le chien n'est pas loin mais n'arrive pas à le localiser précisément au nez, il reste prudent. Le cerf, mourant, nous attend. Jäger l'aboie, et à la première occasion j'envoie une balle de cou. Un peu basse, il en faudra une seconde.
C'est donc un beau 12 cors irréguliers, très bâti, portant les balafres du brame. Il a été tiré à la suite de son harpail d'une douzaine de biches.
La flèche entre pleine cuisse, fracture le fémur, et continue pour atteindre la cavité abdominale (flèche lourde et arc à poulie règlé à 75lbs). Elle est coincée dans les débris d'os du fémur, la lame s'est détachée. "
Ne manquent plus que les photos , que je vous passerai dès qu'elles seront là ...