Samedi à Lauroux .
Actualité publiée le 07/12/2014
Les pieds faits jusqu'à 10 heures et quelques , avons attaqué avec les courants sur ce qui semblait le plus intéressant . J'étais avec les piqueurs au lâcher , j'ai tout vu ... Finalement c'est tellement grand , il y a en général de la fréquentation de la nuit un peu partout , enfin bref pas facile pour qui que ce soit de remiser vraiment un sanglier là bas . Je m'explique ... Il y a 25 ans , quand sur ma commune de Labalme sur Cerdon on faisait les pieds , il n'y en avait pas toujours , quand on en avait UN frais , ou une bande , il était relativement facile ( en finissant souvent à 13 heures ) de savoir où il était allé se coucher . Là , il y a de la fréquentation partout , de toutes les anciennetés , et on arrête les pieds au bout de deux heures . Trop vite , sauf coup de chance , pour avoir une quasi certitude .
Enfin bref au bout de deux ou trois minutes les piqueurs ont entendu que ça ne levait pas , on est tous montés dans la côte avec nos voitures de 500 mètres par les chemins qui vont bien , pour entendre que ça ne levait toujours pas . Et puis si , mais loin , pas où on l'espérait , sangliers levés , échappés .
Une deuxième attaque a été menée , pendant laquelle je sortais une heure mes chiens sur les lieux de la première attaque infructueuse . Donc sans grand espoir , parce que si les sangliers avaient été là , ils les auraient levés . J'aurais eu l'espoir en repassant derrière de lever ce qui n'était pas parti avec les courants , parfois " la grosse " restée pendant qu'un ou deux de ses petits se font mener . Parfois le gros qui n'a pas bougé ... Là , rien , on fera mieux la semaine prochaine ?
Je vous mets une photo du mois d' aout sur laquelle on peut se rendre compte de la difficulté de chasser des endroits pareils ...
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Enfin bref au bout de deux ou trois minutes les piqueurs ont entendu que ça ne levait pas , on est tous montés dans la côte avec nos voitures de 500 mètres par les chemins qui vont bien , pour entendre que ça ne levait toujours pas . Et puis si , mais loin , pas où on l'espérait , sangliers levés , échappés .
Une deuxième attaque a été menée , pendant laquelle je sortais une heure mes chiens sur les lieux de la première attaque infructueuse . Donc sans grand espoir , parce que si les sangliers avaient été là , ils les auraient levés . J'aurais eu l'espoir en repassant derrière de lever ce qui n'était pas parti avec les courants , parfois " la grosse " restée pendant qu'un ou deux de ses petits se font mener . Parfois le gros qui n'a pas bougé ... Là , rien , on fera mieux la semaine prochaine ?
Je vous mets une photo du mois d' aout sur laquelle on peut se rendre compte de la difficulté de chasser des endroits pareils ...